lundi 30 avril 2007

Sondage 2eme tour de la presidentielle, Sarkozy ou Royal ?

Selon le dernier sondage affiché dimanche et qui a été effectué par TNS-Sofres pour RTL, LCI et Le Figaro, l'écart entre les deux candidats pour le second tour de l'election présidentielle est toujours aussi faible et l'issue et le résultat du 2eme tour est de plus en plus incertain.
Selon ce sondage 52% des electeurs voteront au 2ème tour pour Nicolas Sarkozy contre 48% pour Ségolène Royal tandis que 17% des personnes interrogées n'ont pas exprimé d'intentions de vote.
Quant aux électeurs de François Bayrou , 41% d'entre eux voteraient pour Royal au second tour contre 32% pour Sarkozy alors que 27% n'expriment pas d'intention de vote.
A rappeler que ce sondage a été réalisé avant le débat qui a reunit Royal et Bayrou, samedi.
82% des interrogées se disent sûres de leur choix, tandis que 16% affirmant pouvoir changer d'avis d'ici au 6 mai.
43% souhaitent la victoire de Sarkozy et 42% celle de Royal.

dimanche 29 avril 2007

A qui profite le débat?

Réactions après le débat Royal-Bayrou :
Nicolas Sarkozy dénonce les "petites combines"
Satisfaction au PS après le débat

A qui a profité le débat entre Royal et Bayrou ?
Ségolène Royal. 71.9 %
Nicolas Sarkozy. 16.4 %
Ni l'un ni l'autre. 11.7 %
Selon un sondage du journal leMonde

Sarkozy dangereux?

Dossier Marianne: « Le vrai Sarkozy »: Ce que les grand medias n'osent pas ou ne veulent pas dévoiler.

Sarkozy toujours devant mais l'écart dimunie

Selon le dernier sondage Ipsos/Dell publiée samedi soir, Nicolas Sarkozy emporterait 52,5% des voix au second tour de l'élection présidentielle, contre 47,5% .
Sarkozy est toujours devant mais l'écart se resserre à une semaine du jour du vote.

video du débat Ségolène Royal et François Bayrou

Yahoo offre pour ceux qui ne l'ont pas suivi l'enresgistrement en video du débat entre Ségolène Royal et François Bayrou.
video du débat

dimanche 22 avril 2007

Sarkozy-Royal au 2eme tour selon les premiers sondages

Selon les premières estimations à la sortie des bureaux de vote, il n'y aurait pas de surprise comme 2002 à l'annonce des résultats à 20h, et ces estimations donnent les deux favoris Sarkozy et Royal vainqueurs du premier tour des présidentielles françaises 2007.
Donc, selon les premiers sondage, Nicolas Sarkozy et Segolene Royal s'affronteront au 2eme tour de la présidentielle.
Premières estimations! 18h59, de Paris. Premières estimations de dépouillement:
N. Sarkozy: 29,15%
S. Royal: 26,2
F. Bayrou: 18,6
J.-M. Le Pen: 10,8
O. Besancenot: 4,7%
(selon tsr.ch)


Présidentielles: ESTIMATIONS STABLES
FRANCE - 19h05, selon les bulletins déjà dépouillés, les tout premiers résultats fiables.
PREMIERS BULLETINS DEPOUILLES (19h05)

Sarkozy 29,15%

Royal 26,2%

Bayrou 18,6%

Le Pen 10,8%

(selon: 20min.ch)

Présidentielle: participation record pour le premier tour

Présidentielle: vers une participation record pour le premier tour
Les électeurs se sont pressés aux urnes dimanche pour le premier tour de la présidentielle, laissant présager une participation record pour ce scrutin incertain, qui doit désigner les deux finalistes qui s'affronteront le 6 mai pour succéder à Jacques Chirac.

A 17H00, une heure avant la fermeture de la majorité des bureaux de vote, le taux de participation atteignait 73,87%, soit plus que la participation finale en métropole au premier tour de 2002, qui avait enregistré un record absolu d'abstentions pour un premier tour de présidentielle (28,4%).

Il est également nettement supérieur à ceux enregistrées à la même heure au premier tour lors des présidentielles de 1995 (64%), 1988 (69,1%) et 1981 (66,2%).

Alors que les derniers bureaux fermeront à 20H00, ce chiffre laisse prévoir une participation record des 44,5 millions d'électeurs inscrits, cinq ans après le coup de tonnerre du 21 avril 2002, qui avait vu le candidat d'extrême droite Jean-Marie Le Pen se qualifier pour le second tour.

CSA donnait le chiffre de 85% tandis que l'Ifop et Ipsos prévoyaient même à 17H30 un record absolu pour un premier tour sous la Ve République, à 87%.

Reste à savoir à qui profitera ce regain de civisme, alors que quatre des 12 candidats ont fait la course en tête dans les sondages, mais qu'environ un tiers des électeurs sont restés indécis jusqu'au bout.

Nicolas Sarkozy (UMP) et Ségolène Royal (PS) faisaient figure de favoris à la veille du scrutin, suivis de près par François Bayrou (UDF), qui s'est imposé en "troisième homme", position que lui conteste toutefois Jean-Marie Le Pen (FN).

Tous les quatre ont voté dans leurs fiefs dans la matinée. Toute la journée, des files d'attente se sont formées devant de nombreux bureaux de vote sous un soleil printanier. Dans un bureau du 15e arrondissement de Paris, les officiels demandaient aux électeurs de repasser plus tard, avertissant sur une heure d'attente.

La participation avait déjà été forte samedi lors du vote de quelque 1,4 million de Français de l'outremer et de l'étranger. Le petit archipel de Saint-Pierre et Miquelon, dont les électeurs ont ouvert le bal samedi, a ainsi enregistré 20% de participation en plus sur 2002, la Guadeloupe 25% et la Martinique 23%.

Autre signe de l'intérêt pour cette élection, qui devrait porter une nouvelle génération - les favoris sont tous quinquagénaires - à la tête du pays après 12 années de présidence Chirac, l'augmentation du nombre d'inscrits, avec 3,3 millions d'électeurs de plus qu'en 2002, dont beaucoup de jeunes âgés de 18 à 30 ans.

Le scrutin de dimanche a également été marqué par la contestation du vote électronique, qui concerne 1,5 million d'électeurs. Les machines à voter ont provoqué grogne et retards - fréquemment une heure ou plus d'attente - dans plusieurs villes de France, certains élus ou électeurs criant à la "catastrophe" et réclamant l'abandon du système.

Tout l'éventail politique, de l'extrême droite à l'extrême gauche, est représenté par les 12 candidats en lice.

Pour les "petits", il s'agit d'accumuler suffisamment de voix pour peser sur le deuxième tour en négociant son ralliement.

C'est particulièrement vrai pour la communiste Marie-George Buffet, l'écologiste Dominique Voynet, l'altermondialiste José Bové, Philippe de Villiers (MPF) ou Frédéric Nihous (CPNT).

Les voix trotskistes sont condamnées à s'éparpiller sur trois candidats: Olivier Besancenot (LCR), Arlette Laguiller (LO) et Gérard Schivardi (soutenu par le Parti des Travailleurs).

Les 64.030 bureaux de vote en métropole avaient ouvert leurs portes à 08H00, à l'exception d'une dizaine à Marseille dont les serrures avaient été obturées avec de la colle. La plupart d'entre eux (70%) fermeront à 18H00, certains à 19H00 et 20%, région parisienne et grandes villes, à 20H00.

Premieres estimations des résultats des Présidentielles

Présidentielles: PREMIERES ESTIMATIONS!

FRANCE - Voici les premiers chiffres articulés à 18h par des sources proches du QG de l'UMP.

PREMIERES ESTIMATIONS (18h20):

Selon les bruits qui circulent au QG de Nicolas Sarkozy, le candidat de l'UMP arriverait en tête avec 30% des suffrages, devant Ségolène Royal (23%), François Bayrou (17%) et Jean-Marie Le Pen (13%).

Selon un autre sondage de l'institut CSA réalisé, lui, à la sortie de l'isoloir, les deux favoris sont à égalité, recueillant tous deux 26 % des voix. Le candidat de l'extrême droite Jean-Marie Le Pen recueillerait 17 % des voix, contre 16 % au centriste François Bayrou.

Selon l'Institut Ipsos, M. Sarkozy arrive en tête avec 27,5 %, contre 26 % à Mme Royal. Jean-Marie Le Pen recueillerait lui 17 % contre 16 % à M. Bayrou.


A midi, un tiers des électeurs avaient déjà voté, un taux de participation particulièrement élevé alors que les derniers bureaux de vote ferment à 20 h.

A l'école primaire Saint-Charles à Marseille, les files d'attente s'allongeaient dès le début de la matinée. Parmi les électeurs, beaucoup de jeunes de 20 à 30 ans qui expliquaient leur présence par le «traumatisme» du 21 avril 2002, lorsque le leader d'extrême droite Jean-Marie Le Pen avait éliminé au 1er tour le socialiste Lionel Jospin.

«Je n'étais pas allée voter en 2002, j'étais insouciante, et puis il y a eu ce choc. J'ai décidé de m'inscrire et de venir voter aujourd'hui pour éviter une nouvelle confrontation où on n'aurait pas vraiment le choix au deuxième tour», explique Kaoutcher Ben Amor, 30 ans, assistance médicale.

Sceptiques voire fatalistes

Même type de témoignage à Lyon: Brigitte Cuvelliez, une infirmière de 49 ans qui avait cessé de voter en 1988, s'est «réinscrite après 2002». Elle faisait partie de ce tiers d'électeurs indécis jusqu'au dernier moment.

«Je ne savais pas pour qui j'allais voter mais je savais pour qui je n'allais pas voter!», dit-elle. «Je me suis décidée dans les tout derniers jours en comparant les professions de foi, point par point». Mais, son choix enfin arrêté, elle reste malgré tout sceptique: «une fois élus, les hommes politiques font ce qu'ils veulent».

A Lille, à l'école élementaire Pasteur, un vieux bâtiment de briques rouges, Nicolas Fouilleron, interne en médecine de 28 ans, oscille aussi entre «espoir d'un changement» et «fatalisme». «Comme pour chaque élection, après, c'est l'inertie», se désole-t-il.

Volonté de changement

En région parisienne aussi, les électeurs patientent parfois longtemps devant les isoloirs pour participer à un scrutin aux enjeux cruciaux.

«J'attends une grosse réforme pour le développement du social, face à un écart entre les pauvres et les riches qui est de pire en pire», explique Xavier Cocollos, musicien de 40 ans, à Suresnes, banlieue à l'ouest de la capitale.

Près de lui, Bruno Labarre, 44 ans, dirigeant d'entreprise, voudrait «que ça change». «J'attends qu'on invente un nouveau modèle, une nouvelle société, des réformes très fortes. On est dans un système qui décline», dit-il.

Nouveau système électronique

Si l'écrasante majorité des 44,5 millions électeurs français devaient glisser comme d'habitude leur bulletin dans une enveloppe, 1,5 million d'entre eux étaient invités à voter, pour la première fois lors d'une présidentielle, sur des machines électroniques.

Yvette Lalanne, retraitée de 70 ans à Toulouse, en fait partie. Elle est ravie de l'expérience. «J'avais quelques appréhensions, et en définitive, je vois que c'est très simple, très rapide et j'espère en plus que c'est fiable», explique-t-elle en souriant.

En revanche, à Issy-les-Moulineaux, près de Paris, ce nouveau système provoquait cafouillages et retards. «Beaucoup de personnes âgées ne comprennent pas comment ça marche. C'est pas compliqué, mais ça déroute. Alors on annule, on recommence, les autres attendent», se plaignait un électeur.

DERNIER SONDAGE CSA (20 avril): LE PEN TROISIEME HOMME

Intentions de vote au premier tour

Sarkozy UMP 26,5% (-0,5)

Royal PS 25,5% (-0,5)

Le Pen FN 16,5% (+0,5)

Bayrou UDF 16% (-1)

Besancenot LCR 5% (=)

Buffet PCF 2,5% (+1)

Laguiller LO 2% (+1)

Bové 1,5% (-1,5)

Voynet Verts 1,5% (=)

Nihous CPNT 1,5% (+0,5)

De Villiers MPF 1,5% (+0,5)

Schivardi PT 0% (0)


source:http://www.20min.ch